Dizuit nous invite à un voyage nouveau dans l’univers de la narration footballistique, ou il mêle dialogues, interrogations, réflexions …

Par exemple, sur la pertinence d’envisager un sport individuel avec comme seul et unique adversaire soi-même, et ce en l’absence de partenaires …. Pour se contempler, se retrouver, et combler une soif narcissique qu’il a en un seul match diagnostiquée chez certains sans les nommer.

Une analyse sociologique en guise d’intro et sous forme de dialogue, nous sensibilise aux autres hobbies pratiqués par la jeunesse du 18eme, où masturbation, sports extrêmes, animent les lundis soirs de ces hommes.



Une rubrique mode se charge de nous rappeler que si Selim lutte contre le froid et la pluie, son combat pour le bon goût est perdu !

Pour me décrire c’est au monde animal qu’il fait référence, je savais que mes chaussettes étaient une faute de goût, mais je n’avais pas décodé le message qu’elles délivraient.

Dizuit fais nous rêver !