Doit-on parler pour autant de but contre son camp ? Pas formellement, puisque Marc portait alors, au moins moralement, les couleurs de nos adversaires (concrètement, le bleu). Enfin quand je dis "adversaires", on voit bien que la situation n'est pas si claire, puisqu'évoluaient également dans leurs rangs Philippe L et Olivier.

En effet, j'ai omis de le préciser, mais ils n'étaient que 8, et nous leur avons donc prêté 3 joueurs, puisque nous étions 15 (ce qui au passage était conforme à mon dernier message, qui annonçait 13 + Thierry + 2 incertains). Et reconnaissons que c'est bien l'équipe ainsi constituée qui marqua 2 buts, contre 1 seul pour le Panthéon.

Néanmoins il était normal que la victoire nous revînt, compte tenu que l'apport de nos renforts leur fut déterminant (on a vu que Marc avait marqué le dernier but, ajoutons qu'Olivier est très lourdement impliqué dans leur premier but et la contribution de Philippe ne fut pas moins importante).

Et pour dissiper tout malentendu sur cette notion de victoire du Panthéon, en apparente contradiction avec la répartition des buts marqués, les plus fins mathématiciens pourront noter que les joueurs du Panthéon totalisent plus de buts que les adversaires. En effet, avec 11 joueurs à 1 but et 3 à 2, notre total est de 17, total qu'il convient évidemment de diviser par 11, d'où un résultat de 1.55 qui s'arrondit à 2. De leur côté, avec 8 joueurs à 2 buts, leur total est de 16, ce qui, divisé par 11, donne 1.45, qui s'arrondit à 1.

D'où à ce titre également une victoire du Panthéon par 2 buts à 1. C'est d'ailleurs le score qui figure déjà sur le site de la Fédération.