Panthéon Football Club

Notre match prévu à Bondy lundi dernier a été annulé par la Ligue en raison des mauvaises conditions météorologiques.

Or, pour qui s’en souvient, si les conditions étaient particulières en région parisienne vendredi soir, elles étaient redevenues ordinaires dès samedi matin.

Cependant, la pratique de la Ligue en de telles circonstances est d’annuler d’un coup tous les matchs du week-end (qui inclut le lundi) et non pas seulement ceux du samedi. Et j’imagine que, pour permettre aux organisateurs et aux joueurs d’être informés à temps, ils s’imposent de prendre cette décision aussi tôt que possible (sans doute dès vendredi dans le cas présent).

Voilà pourquoi le coup de vent de vendredi a eu pour effet l’annulation de notre match de lundi soir. Un peu comme si la Ligue avait placé cet événement météorologique plus tard qu’il ne se devait (et ça c’est un parachronisme, le mot existe, autant l’utiliser).

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Encore un photo.

Celle-ci illustre l'un des rares moments où le Panthéon affiche une totale maîtrise du ballon. On sent même une certaine sérénité, limite relachement.

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En langage codé, le résultat de notre match de lundi figurerait ainsi dans les tables officielles :

Panthéon FC – Kro AS : 5 – 1 (0 – 1)

Le « 5-1 » signifie que nous avons marqué 5 buts et les adversaires 1 seul. Nous avons donc marqué plus de buts qu’eux. Or la loi 10 du football stipule que « L’équipe qui aura marqué le plus grand nombre de buts pendant le match remporte la victoire. »

Ces éléments établissent donc que nous avons remporté la victoire, pour la raison que nous avons marqué plus de buts que l’adversaire pendant le match. Précision inattendue mais utile, car même si c’est la manière habituelle de remporter un match de foot, on sait que nos deux victoires cette saison avaient été obtenues d’autres façons.

Un match remporté sur le terrain donc, et contre une bonne équipe. Comme le faisait remarquer Laurent l’année dernière après notre défaite contre cette même équipe de Kro, ils nous avaient mis la pression et se servaient très bien des demis. Ce fut encore le cas lundi, mais le Panthéon de cette année est d’un autre tonneau. Et sans vouloir nous faire mousser, on peut dire que nous l’avons emporté avec panache.

En effet, même si le score est large, la victoire ne fut pas facile, comme en témoigne la marque à la mi-temps (nous étions menés 0-1).

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