Panthéon Football Club

Avant de lancer la saison 2009 - 2010, un rapide bilan financier de la saison 2008 - 2009 semble nécessaire.

Notre valeureux Directeur Financier a bien voulu faire un peu les comptes, en voici une rapide présentation.

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De manière évidente, l'assoupissement progressif de ce site est en ligne avec le ralentissement de l'activité de l'équipe. Les dernières prestations du Panthéon méritent tout de même qu'on en dise quelques mots.

Il y a deux semaines donc, lundi 15 juin, nouveau match contre nos amis de Kro, qui s'est soldé cette fois par un résultat de parité, 3 partout. Nos buts ont été inscrits par le mec qui portait le maillot de Marc, Raï et Karim. Karim ne nous en voudra pas de distinguer les deux premiers de ces trois buts, sur lesquels le mec qui etc. et Raï accomplirent des gestes techniques tout à fait remarquables.
Et dont ils n'ont pas tous l'habitude.

Afin de développer l'interactivité de ce site, je laisse les témoins, ou les acteurs, s'exprimer sur ce sujet et nous faire part de ce qu'ils ont retenu de ces moments inoubliables.

Lundi suivant, nous n'étions que 6 pour un petit match entre nous. Même sur la largeur, un match à 3 contre 3 n'aurait pas pu se dérouler sans une débauche d'énergie inhabituelle. Ce qui signifiait, en cette fin de saison, un risque de blessure accru pour les participants. Par prudence, il fut décidé de ne pas faire prendre inutilement ce genre de risque à nos plus vaillants représentants, et de préserver leurs forces pour des joutes plus consistantes. Chacun rentra donc chez soi sain et sauf.

Ferons nous mieux lundi 29 ?
Le suspens est total.

La soirée de lundi 8 juin a été marquée du sceau des trois K : Kader, Karim et Kro.

Nous rencontrions de nouveau nos amis de Kro pour un match très amical. Plutôt que de faire une fois de plus des jeux de mots foireux sur le nom de leur équipe, soulignons leur excellent état d'esprit. Le match n'a donné lieu à quasiment aucune contestation, y compris sur les problèmes de hors-jeux, pourtant difficiles à juger.

Tout au plus pourrait-on évoquer un but indûment refusé au mec qui portait le maillot de Marc.

Simple accroc.

Parlons donc des deux autres K, Kader et Karim.

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Lundi, c'était l'anniversaire de Laurent.

Tout le monde ne s'en est pas aperçu car nous avons fait les choses discrètement, mais en fait toute la soirée avait été organisée dans ce sens. Et cela en explique certains aspects qui sans cela paraîtraient étonnants. A commencer par notre victoire étriquée contre une équipe relativement faible, par 2 buts à 1, avec le but victorieux marqué dans les toutes dernières minutes.

Nous ne pouvions pas rester indifférents au fait que l'anniversaire de notre Thuram blanc tombe juste le jour du dernier match de la saison. Le Comité des Anniversaires s'était donc réuni, dans la plus grande discrétion, afin d'organiser des festivités à la hauteur de l'événement.

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On excusera le titre peu glorieux, mais de fait il est difficile de dire autre chose que "pas terrible" pour qualifier notre match de lundi dernier.

Le résultat final : défaite 3-1 contre Inter 06.

De l'avis général, nous avons fourni un match très moyen, la plupart d'entre nous jouant en-dessous de leur niveau habituel.

Une fois de plus, nous avons perdu contre une équipe qui ne figurait pas bien haut au classement, puisqu'elle était 7ème avant ce match. Nous avions perdu le match précédent contre l'équipe 8ème. Nous restons donc assez logiquement à la 9ème place, l'équipe classée 10ème étant à peu près hors de portée.

C'est justement cette équipe que nous rencontrons lundi prochain. Une bonne opportunité pour finir la saison sur une victoire, et pour donner un peu plus d'inspiration à notre valeureux chroniqueur.

La mode est au développement durable. Et le développement durable c'est aussi le recyclage de ce qui a déjà servi. En réutilisant les vannes les plus usées figurant dans les comptes-rendus des matchs précédents contre Kro, nous ne tombons pas dans la facilité, nous participons à cette noble démarche.

Que nos lecteurs les plus assidus ne soient donc pas surpris d'une impression de déjà -vu ici ou là .

Disons-le pour commencer, nous avons gagné avec panache notre match de lundi dernier contre Kro, par 3 buts à 1.

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Amis lecteurs, si vous avez pris l'habitude de feuilleter nos billets, de consulter nos comptes-rendus hebdomadaires, de trépigner pour connaître le résultat du lundi, c'est que vous contribuez, à votre façon à la légende du Panthéon. Car il ne vous aura pas échappé qu'au fil des semaines, le PFC a pris une autre dimension et s'est clairement positionné au rang d'institution footballistique majeure du XXIème siècle. A l'instar des autres grandes institutions de ce millénaire, le PFC dispose de rites originels quasi-immuables, à l'exception notable de ce goût histotiquement prononcé pour la défaite et désormais obsolète... Citons les 5 principaux rites encore en vigueur au PFC : le fair-play "coubertinien", le ratage de pénalty, le non-paiement des cotisations, l'indéfectible respect à l'endroit de notre président-trésorier-valeureux gardien et le panache printanier de l'équipe...

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Les joueurs du Panthéon FC partagent une vision du sport, du dépassement de soi et de la vie en général qui les amène à envisager des challenges improbables et toujours plus ambitieux.

Après plusieurs années consacrées à totaliser autant de défaites que de matchs, nous avons par exemple réussi la saison dernière à finir contre toute attente deuxièmes du championnat. Nous avons également gagné le pari de jouer plusieurs saisons avec un maximum de 2 licences en règle pour toute l'équipe, avant d'en totaliser aujourd'hui presque plus que nous n'avons de joueurs.

A notre actif aussi une feuille de match remplie dans les mauvaises cases, ou deux cartons jaunes infligés sur deux matchs consécutifs à un même joueur, indisponible pendant cette période. Autre performance la semaine dernière avec une défaite contre l'une des équipes les plus faibles du championnat, et un compte-rendu qui paraîtra avec plus d'une semaine de retard.

A ce grand catalogue de nos exploits nous avons ajouté hier une des pages les plus prestigieuses, en réalisant un challenge insensé : faire marquer notre valeureux gardien.

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Dans un louable souci de cohérence, le Panthéon aime bien que ses victoires portent des noms de victoire. Comme par exemple Iéna, qui fut même il y a quelques années notre seule victoire de la saison.

Ce fut donc lundi le tour de Malakoff (8 septembre 1855 comme vous savez). Victoire par 3 buts à 1, qui nous permet de prolonger une dynamique très intéressante avec 4 matchs de championnat consécutifs sans défaite.

Le nom des buteurs : Damien (x2) et le mec qui portait le maillot de Marc.

Nous avions perdu 4-1 à l'aller. Soulignons qu'ils ont une bonne équipe, très physique en particulier. Avec à l'avant un attaquant paradoxal qui ressemblait à Gallas mais qu'ils appelaient Mavuba. La feuille de match indique d'ailleurs que tel est bien son nom. Il nous a fallu livrer un match engagé pour les contenir. Match engagé pour les aspects défensifs, inspiré et efficace s'agissant de l'offensive ou simplement pour conserver le ballon dans l'entre-jeu.

A noter dans le déroulement de la soirée deux aspects inattendus, dans les buts puis dans les vestiaires.

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Si en championnat les attentes sont partagées par l’ensemble des joueurs du PFC en cette deuxième partie de saison : « trouver une place plus respectable au classement », d’autres ambitions, individuelles celles-ci, peuvent s’exprimer lors d’un match amical sans enjeux contre un adversaire que l’on pratique plusieurs fois dans l’année.

A l’image de Michel et moi-même.

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Nous avons tardé à rendre compte du match de lundi 16, et nos lecteurs les plus fervents nous l'ont fait savoir. Plusieurs raisons à cela, et principalement certains sujets qui s'imposent dans ce compte-rendu, et qui doivent être traités avec délicatesse.

Mais le résultat d'abord : un match nul contre Villeroy, équipe classée dans le trio de tête du championnat.

La manière ensuite, et c'est là le premier point délicat : nous ne pouvons pas passer sous silence la prestation de notre valeureux gardien. En effet, au-delà du match sérieux et efficace que sous-entend ce résultat méritoire, il a accompli quelques interventions de grande classe. Mais évidemment il ne nous revient pas de nous extasier sur ces prodiges. Commenter évoquer de tels exploits pour qui les a vécus de l'intérieur ? Un dithyrambe sera mieux venu de la part d'un témoin.

Autre sujet délicat : l'arbitrage. Difficile d'évoquer le comportement assez étonnant de notre arbitre sans tomber dans une forme de critique à laquelle nous sommes habituellement réticents.

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Notre match de lundi dernier a été marqué par l’absence de Pierre et un manque de lumière.

La lumière d’abord.

Son manque nous a frappés dès avant le match, puisque nos vestiaires n’étaient simplement pas éclairés. C’est étonnant et désagréable pour les premiers arrivants, qui découvrent la situation en prenant possession des lieux. C’est carrément saisissant pour les suivants, qui découvrent en ouvrant la porte une pièce sombre dans laquelle s’activent des personnes difficilement identifiables et à la tenue incertaine.

Disons que ces sensations nouvelles ont permis à notre équipe de compléter son vécu de vestiaire, déjà riche de situations inattendues.

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En l'absence de notre valeureux gardien, et de son inimitable style, je me permets très modestement d'assurer l'intérim pour vous rendre compte de la rencontre de coupe disputée lundi soir à Bourg-la-Reine. Certains y verront une troublante analogie avec le remplacement de Gaëtan Huard, blessé un soir de Coupe d'Europe au Vélodrome, par un certain Jean-Pierre Papin. D'autres une nouvelle manifestation de la pathologie rétrograde du supporter marseillais en quête de titres depuis 1993... Mais prenons les choses dans l'ordre et passons en revue l'effectif du Panthéon FC (12 joueurs).

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Selon le site de la Ligue, nous aurions perdu 3-1 contre Bourg la Reine.

Merci aux témoins de confirmer ou de démentir, et surtout de nous en dire plus.

Après les scores cataclysmiques de ce début d'année, le Panthéon enchaîne les contre-performances avec cette gazette qui affiche une semaine de retard. En effet nous n'avons pas encore dit un mot du match de lundi 16.

En l'absence de match officiel, nous avions programmé un match amical contre notre club conjoint, Ormodent. Mais comme on sait, les notions de conjoint et d'amical ne se marient pas toujours facilement. Et de fait, ce match tourna plus à la querelle de vieux couple qu'à la rencontre amicale.

Ce qui ne nous empêchera pas de souligner qu'en définitive le Panthéon l'a emporté par 4 buts à 3.

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Que Pierre ne m'en veuille pas de ce titre qui semble oublier qu'il est venu faire le 10ème à partir de la fin de la première mi-temps, avec courage et malgré des circonstances contraires. Mais j'essaye de soigner un peu mes titres. Et je trouve que celui-ci répond mieux à celui de la semaine dernière que "En 2009 on s'en prend 7".

Parce que donc on s'en est pris 7, soit un petit peu moins que la semaine dernière.

Et comme la semaine dernière on n'en a marqué aucun.

Donc voilà , ça fait 7 à 0.

Et, comme je l'ai déjà suggéré, l'avantage avec ces défaites qui n'appellent aucune discussion, c'est que justement elles n'appellent aucune discussion. D'où encore une fois une excellente ambiance au sein de l'équipe, sur le terrain comme dans les vestiaires.

Seul le septième but a suscité quelques commentaires, mais comme justement c'était le septième ... Il s'agissait d'un lob, et nous savons que les balles en hauteur ne sont pas la spécialité de notre valeureux gardien. Certains prétendent que Selim l'aurait arrêtée avec le pied.

On attend de voir.

Défaite sans problème lundi dernier contre Bagatelle, par 9 buts à 0.

Notre défense a relativement bien tenu pendant la première mi-temps, comme en témoigne le score à la pause, 3-0. Mais ils avaient en face un numéro 10 qui faisait à peu près ce qu’il voulait dans la surface, y compris par exemple dribbler 3 défenseurs à la fois avant d’ajuster un tir imparable.

Deux fois.

Ajoutons un numéro 9 qui marqua en tapant dans le ballon de rage après avoir été crocheté dans la surface, et voilà les trois buts.

La faillite collective fut plus nette en deuxième mi-temps.

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Les fêtes de fin d'année puis les conditions climatiques réduisent notre club à l'inactivité depuis plusieurs semaines. Il n'en sera pas de même de notre site, qui se doit d'affirmer la gloire de notre équipe au-delà des vicissitudes du terrain, de la météo ou du calendrier.

Nous profitons donc de cette période vide d'exploits sportifs pour présenter les voeux officiels du Panthéon FC à différentes catégories de personnels.

Le Panthéon FC souhaite à ses joueurs de livrer chaque match avec la combativité et le fair play qui permettent l'amalgame harmonieux entre le sport et le loisir. Il leur souhaite de connaître la victoire tout en sachant accepter l'improbable défaite.

Le Panthéon FC souhaite à ses arbitres la clairvoyance et la vigilance, ainsi que la mansuétude dans le contrôle des licences du Panthéon FC.

Le Panthéon FC souhaite à ses adversaires de livrer chaque match avec la combativité et le fair play qui permettent l'amalgame harmonieux entre le sport et le loisir. Il leur souhaite de savoir accepter la défaite face au Panthéon FC tout en sachant ne pas trop se la péter en cas de victoire.

Le Panthéon FC souhaite à ses supporters que tous leurs voeux se réalisent, surtout en ce qui concerne le Panthéon FC.

Le Panthéon FC souhaite à ses dirigeants de recevoir rapidement les cotisations manquantes ainsi que les licences dûment remplies et avec le tampon du médecin, merci d'avance.