Panthéon Football Club

mercredi 18 octobre 2000

Du positif

La soirée de lundi a été marquée par plusieurs éléments positifs.
- Nous étions suffisamment nombreux : 11 au coup d'envoi, et même 12 en cours de match.
- Plusieurs d'entre nous avaient leurs licences.
- Le terrain était très agréable, contrairement à ce que l'on aurait pu craindre.
- Certains des adversaires étaient courtois.

Nous avons perdu 6-2 , mais contrairement à nos mauvaises habitudes de l'année dernière, nous ne nous sommes pas désunis en fin de match, et nous avons même réussi une bonne deuxième mi-temps ( 2-1 ). Beaucoup de raisons de se réjouir, donc.

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lundi 16 octobre 2000

Ce soir ça rigole pas

Amis,

Nous devrions bénéficier ce soir de la présence d'un arbitre officiel. Il serait donc bon que nous disposions, non seulement de suffisamment de joueurs, mais aussi des licences afférentes et en règle. Il y a un net mieux quant aux réponses de votre part, et nous totalisons, sauf erreur de ma part, 7 réponses positives, ce qui représente 70% des suffrages exprimés. Le taux d'abstention est encore considérable, ce qui est bien dans l'air du temps.

MAL

PS : est-ce que quelqu'un a mes gants ? Sinon, ça risque d'être pire que d'habitude.

lundi 9 octobre 2000

Le Panthéon renoue avec la victoire

Après les déconvenues des dernières semaines, (disons en gros des 60 dernières semaines) les supporters du Panthéon attendaient un sursaut d’orgueil de leur équipe hier soir au stade de la Chapelle, pour ce match amical à l’aube d’une saison que l’on espère plus faste que la précédente.



Pour compenser les défections de quelques éléments essentiels (et en particulier de nos deux attaquants de choc, les redoutables frères Piltoun), on n’avait pas hésité à faire appel à une jeune recrue, l’inexpérimenté Jocelyn.

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mardi 3 octobre 2000

La première galère de la saison

Déjà aller à la Courneuve c'est pas la joie, mais en plus ces imbéciles ont prévenu Arnaud à 18h30 qu'il y avait changement de terrain. D'où un léger flottement dans notre organisation habituellement si exemplaire. Bref, on était 4 à peu près à l'heure, et finalement 8. Un bravo spécial aux courageux qui ont fini par rejoindre le stade Ernesto Che Guevara.

Et spécialement aux retardataires, qui ont eu le mérite supplémentaire de ne pas laisser tomber. Un exemple pour nous tous.

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