Panthéon Football Club

Ainsi donc notre Lolo vieillissant a-t-il décidé de franchir un cap et de se fracturer le poignet lundi dernier.

Sur une envolée dont il a la secret pour aller prendre de la tête un ballon aérien, en position de dernier défenseur, il a percuté de plein fouet l'attaquant adverse bien lancé : déséquilibré, il est mal retombé sur son poignet, crac.

Ce faisant il couronne de manière inattendue mais avec panache 15 ans de carrière au sein du club, en incarnant physiquement la figure tutélaire et mythique du club: le bras cassé.

Cette identification à l'esprit même du club a un prix: attelle jusqu'à janvier puis rééducation. Et ça va très bien !

Bonnes bises à tous Laurent

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Il y a en gros deux sortes de victoires : celles où l’on domine son sujet et où l’on mène 4-0 assez tranquillement, et puis celles où le score est indécis jusqu’à la fin, et que l’on remporte avec soulagement 4-3 au coup de sifflet final.

La victoire que nous avons remportée lundi 1er décembre (car oui, nous avons gagné un match cette saison, et donc c’était lundi 1er décembre), cette victoire donc (puisque c’est bien une victoire) tient à la fois des deux catégories de victoires.

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Pour la deuxième fois, c'est sur un geste venu d'ailleurs que s'est jouée l'attribution du MVP du match du lundi 1er décembre.

En effet, c'est un but mi-centre, mi-lobe du gardien, mi-coup de bol qui avait valu à Rui d'être élu le premier MVP officiel de l'histoire du Panthéon, au nez et à la barbe de Flo, valeureux capitaine chinois qui avait pourtant réalisé un très bon match.

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